Ce que mes mains apprennent chaque jour de vos corps

Il y a des histoires que les mots ne racontent pas.
Des récits qui se déposent dans la peau, dans la respiration, dans les tensions silencieuses.
Mes mains, chaque jour, rencontrent ces histoires. Elles apprennent à écouter autrement.

Les mains comme antennes

Dans un massage ayurvédique Abhyanga, les mains ne se contentent pas de masser.
Elles deviennent antennes. Elles perçoivent la chaleur, les blocages, la fluidité.
Elles sentent le poids d’une fatigue ancienne, la légèreté d’un souffle retrouvé.
À travers elles, je découvre chaque jour que le corps est un livre vivant.

Un langage silencieux

Le corps parle sans mots et ne sait pas « mentir »
Une épaule contractée dit le poids porté.
Un ventre fermé raconte une peur ou une tristesse.
Une respiration profonde ouvre la porte à l’apaisement.
Ce langage silencieux est plus vrai que les paroles : il est direct, immédiat, authentique.

Chaque soin est une rencontre

Dans chaque séance, il y a une rencontre.
Non pas seulement entre un praticien et une personne, mais entre deux présences.
Mes mains apprennent autant qu’elles donnent.
Elles apprennent la patience, l’humilité, la confiance.
Elles apprennent que sous les tensions, il y a toujours un cœur qui aspire à être entendu.

À Genève, un espace d’écoute subtile

Chez Aaanandha Ayurveda, le massage n’est pas qu’un geste technique.
C’est un art d’écoute.
Une manière d’entrer en résonance avec ce que le corps dit, même dans le silence.
Et chaque rencontre devient alors une leçon de vie, partagée entre mes mains et votre être.

« Dans ce massage, j’ai senti que je n’étais pas qu’un corps fatigué.
J’étais une personne, accueillie dans toute mon histoire.
Et cela m’a profondément touchée. »

— Alexandra C.

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